Plonger est un sport, mais aussi une philosophie, un art qui vise à se confondre avec un milieu inhabituel et à tenter de s’y adapter au mieux. Mais faut-il encore connaître les occupants et leurs habitudes pour partager leur intimité. |
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En plus des espèces rares décrites dans les manuels, il en est une très répandue. De grande taille, ne passant pas inaperçue, explorant méthodiquement les fonds, nageant rarement en pleine eau, jamais vue en action de prédation. Capable de vider son bloc sur un rocher de 2 m² à 10 mètres de fond. Autre particularité, il n’est jamais blasé même après sa 500e plongée, il trouve encore à s’enthousiasmer, à observer et à partager ! |
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Lorsque le plongeur a fini d’épuiser les joies de la technique, s’est rassasié de la contemplation des paysages et de l’exploration des épaves. Il vient tout naturellement à essayer de découvrir le monde du vivant qui l’entoure depuis des années. |
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Pouvoir mettre un nom sur un poisson, un mollusque, un cnidaire, connaitre son mode de vie, savoir où et quand le retrouver et le respecter pour le plaisir des plongeurs suivants. C’est ça la bio. Son approche ne pourra qu’enrichir vos plongées |
(Préface d’après Gérard Breton du Muséum d’Histoire Naturelle du Havre) |
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